Horace GOULD
...
Horace Harry Twigg
Né le 20 septembre 1921 - Southmead (Bristol)
Décédé le 4 novembre 1968 - 47 ans - Southmead (Bristol) - Crise cardiaque
Nation : Royaume-Uni
Premier Grand Prix :
Grande-Bretagne 1954
Dernier Grand Prix :
Argentine 1958
Meilleur classement :
5e
Meilleure position de départ :
10e
 
Meilleur classement en Championnat du Monde : 22e en  1956
1954
nc
1955
nc
1956
22
1957
nc
1958
nc
1
2
3
4
5
6
7
8
9
1
10
1
11
1
12
1
13
3
14
2
15
1
16
17
1
18
1
19
1
20
1
21
1
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
Position sur la grille de départ
Moyenne: 15,6
1
2
3
4
1
5
6
7
1
8
1
9
1
10
11
12
13
14
1
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
Position à l'arrivée
Moyenne: 9,4

Horace Twigg s'engage en compétition dans une Cooper-Bristol à titre privé, d'abord dans des courses de Formule 2 en 1953, il réussit d'ailleurs à se classer en deuxième position à Bristol, puis lors du Memorial Joe Fry.

 

Ayant acheté le "Gould's Garage" à Bristol, de nombreuses personnes ont commencé à l'appeler M. Gould, c'est pourquoi il décide de changer son nom.

 

L'année suivante, la Formule 1 subit un nouveau changement de réglementation. Horace va courir quelques épreuves hors-championnat, puis s'engage au Grand Prix de Grande-Bretagne, comptant pour le championnat du monde, mais la réussite n'est pas au rendez-vous, il ne se classe que quinzième avec... quarante-six tours de retard sur Gonzalez ! En fin d'année, il s'achète une Maserati 250F avec laquelle il triomphe lors du Joe Fry Memorial Trophy.

 

En 1955, il termine troisième du Grand Prix d'Albi. Il participe à trois courses du championnat, mais ne termine jamais. En 1956, il termine deuxième à Naples, remporte la victoire à Aintree hors du championnat, et réussit à marquer deux points lors du Grand Prix de Grande-Bretagne, bien qu'étant classé à quatre tours de Fangio. En 1957, de trop nombreux problèmes mécaniques l'empêchent de réitérer sa performance de la saison précédente. Cependant, il termine quatrième à Naples, puis la saison suivante, quatrième à Syracuse. En 1960, un problème de conduite d'huile l'empêche de courir son dernier Grand Prix à Monza. On ne le verra plus derrière un volant de compétition, mais il aidera son fils à courir à son tour.

Julien